Hier soir, Dimanche 20 septembre, toute la rédaction de la RGVF s'est réunie en urgence face à cette découverte scientifique sans précédent. Le professeur Aimé Luvirac et son équipe de Mont de Marsan viennent de toucher du doigt l'aboutissement d'un programme de recherche fondamentale concernant les côtes de Gascogne blanc, en partenariat avec l'IFV (Institut Français de la Vigne, ndlr) , mais dont la question des financements reste plus que douteuse. Reportage.
Des traces de fruit dans l'échantillon 525-B
Aimé Luvirac n'en est pas à son coup d'essai, puisque c'est lui même et son équipe qui avaient déjà trouvé dans leur laboratoire des traces de copeaux de bois dans un vin de Bordeaux. Mais cette fois ci le projet était plus ambitieux: connaitre exactement l'origine et la composition de ces liquides clairs qui représentent tout de même 72% de la consommation d'alcool en terrasse auprès des moins de 60 ans. Pour ce projet de recherche fondamental Aimé Luvirac s'est entouré des meilleurs spécialistes de la question " sur un protocole similaire à celui de l'étude: 'Le Bordeaux et la vanille: études comparatives' ". "Nous avons décomposé l'ADN du vin et s'il a été très difficile de les déceler, par élimination nous avons découvert vendredi qu'il ne pouvait s'agir que de cela: des raisins ont été utilisé dans la fabrication de l'échantillon 525-B." L'équipe du Professeur Luvirac n'en revient toujours pas et s'attache à reprendre le protocole pour vérifier toutes les données, et remettre le protocole à l'épreuve de vérification.
Les financements douteux du laboratoire: des charentais en sous marin.
Notre équipe a enquêté toute la nuit et à la question: "Comment financez vous vos recherches ?" le laboratoire de Mont de Marsan fuit clairement les questions gênantes : " Vous n'êtes pas Elise Lucet" s'est on vu rétorqué. Les suites de notre enquête de ce monde des financements nous a fait remonter jusqu'à retrouver Olivier Dabadie, le président du syndicat des producteurs de vin de Charentes Maritimes. Contacté par nos services, ce dernier nie en bloc même s'il " reconnait que nous avons toutes les conditions pour pouvoir prétendre à avoir le même succès que le Côtes de Gascogne Blanc". Une banale affaire d'espionnage industriel entre Appellations conccurentes?
Affaire à suivre donc.
Marc Hélalie
Manquerait plus qu'on y trouve un goût de terroir !
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